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Imroine Ahmed Soilihi alias Tata a rendu l’âme suite à un effondrement partiel d’une maison à Mirontsy. Une autre personne est gravement blessée ainsi qu’une voiture écrasée par les débris. La cité de Mirontsy est endeuillée et choquée par ce deuxième accident mortel en moins d’un mois.
Un père de trois enfants connu sous le pseudonyme de Tata n’est plus. Il est parti brusquement et les larmes dépassent les émotions. La maison à l’étage a lâchée et a fait une victime. La construction de la maison est retenue par une partie de l’opinion comme cause primordiale de l’accident. Au rez-de-chaussée, il y a une clinique privée, qui heureusement n’a pas été touchée.
Foundi Daroueche Ahmed, il appelle les proches de la victime et du blessé à ne pas « oublier qu’Allah est toujours avec ceux qui font preuve de patience dans leur douleur en toute circonstance. Un accident reste inévitable, c’est inscrit aux cieux ». Cet argument religieux est murmuré beaucoup lors de la conduite du regretté vers le cimetière hier en début de soirée. « Qu’Allah lui pardonne, Tata était un bon homme très coopératif, que ses trois enfants soient sous la protection divine ainsi que leur mère », témoignait un voisin.
Il faut insister qu’en l’espace de presque un mois, Mirontsy a enregistré quatre accidents dont trois de la circulation. Parmi les quatre, deux sont mortels. La dame tuée sur un trottoir par un chauffard et Tata.
Nabil Jaffar
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